Jeudi 25 mai: le 200km des RugissantsPOUR VOIR LES PHOTOS CLIQUEZ ICILe résuméNous voilà parti pour le 200 kilomètres des Rugissants dans une atmosphère où la sérénité règne et où l'ambiance est à la bonne humeur. En effet, nous faisons mine d'ignorer la chaleur à venir et les (quelques) ascensions que nous allons devoir affronter dans la journée... À noter que nous sommes une quinzaine au départ à la Rotonde mais que nous nous diviserons en deux un peu plus tard. Il convient également de souligner que le team Wilier est en force pour cette sortie avec 3 représentants : Françoise, Michel et Fabien ! Nous partons donc tous ensemble pour un départ relativement tranquille jusqu'à Saint-Maximin où nous prenons le café. C'est également le moment que choisi Julien pour corser un peu la difficulté en cassant sa manette de changement de vitesse, ce qui a pour conséquence de continuer la sortie sur pignon fixe. Mais nous aurons l'occasion d'en reparler plus tard...  L'ambiance est particulièrement décontractée au café à Saint-Maximin C'est juste après cette pause que nous allons nous séparer en deux. Un grand merci à Isa, François B., Pierre P. et David qui rentrent au bercail ! Nous remercions également Pierre G. pour sa participation au tout début de la sortie : il est en effet tombé sur nous par hasard en allant chercher sa baguette de pain et nous a accompagné jusqu'à Châteauneuf-le-Rouge. Il aurait pu nous en proposer un peu mais vu l’appétit de certains on le nui en voudra pas... Le groupe poursuit donc son chemin à 9 en traversant notamment les villages de Mazaugues et La Roquebrussanne avant d'arriver à Solliès-Toucas où la chaleur commence à se faire sentir. Chacun monte ensuite la montée du Sioux Blanc à son rythme au travers de paysages magnifiques.  Le début de la montée du Sioux Blanc Nous basculons sur Signes où nous faisons une pause déjeuner bien mérité. La pause fait du bien, l'ambiance est plutôt bonne voire à la franche rigolade ! Nous repartons sous une chaleur écrasante vers le plateau de Signes avant de basculer sur Ceyreste puis La Ciotat où nous attend la difficile montée vers la route des Crêtes : il faut bien mériter les sublimes points de vue ! D'autant que la chaleur est suffocante.  Françoise et Georges au sommet de la route des Crêtes À noter qu'André et Julien choisissent de filer directement à Cassis pour éviter la route des Crêtes. André prône la prudence alors que Julien nous explique qu'il est sujet à des problèmes gastriques, ce garçon fait définitivement tout pour se faire remarquer ! D'autant que la fatigue commence à se faire sentir : le pignon fixe n'est pas forcément adapté à ce type de sortie... Après avoir affronté les terribles pentes de la route des Crêtes puis profiter des paysages, le groupe retrouve donc André et Julien à Cassis. Rien ne va plus pour ce dernier qui choisi de filer directement sur Marseille par la Gineste plutôt que de faire les 70 derniers kilomètres avec le groupe afin de rentrer chez sa sœur. Ce garçon ne fait définitivement rien comme les autres ! Le groupe continue son bonhomme de chemin en montant vers Roquefort-la-Bédoule puis en se dirigeant vers Aubagne et Roquevaire avant d'aborder la dernière difficulté de la journée : la montée bien connue du Pigeonnier. La fatigue est maintenant bien présente sauf chez certains ou plutôt chez certaines... en effet, Karine qui n'avait jamais fait une telle distance se permet le luxe de larguer tout le monde dans la montée du Pigeonnier. Ce n'est pas très poli pour une première participation mais nous lui tirons quand même notre chapeau ;-)  Michel et André au sommet du Pigeonnier Nous rentrons sur Aix à vive allure histoire de conclure une bien belle journée ! Un grand merci à Loïc pour cette très belle idée de parcours particulièrement original. Fabien (pigiste en lieu et place de notre cher et talentueux Loïc)  Le groupe sur la route des Crêtes (il manque André et Julien L. sur la photo)  La route des Crêtes dans toute sa splendeur... |
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